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Plus le glacier recule, et plus il faut marcher longtemps avant de l'atteindre. Logique non?

Il y a quelques milliers d'années il aboutissait directement dans la mer de Tasman.
Maintenant il est en gros à un peu moins de 20 kilomètres de la mer et se termine à moins de 300 mètres d'altitude.

Objectif en vue.



Très important d'avoir un bon guide en montagne.

Pour notre groupe ce sera Tori.











It's crampons' time.



Bon, ça devrait aller.



George, un autre guide, un vrai virtuose de la pioche.

Sapristi! L'abominable Polnareff des Glaces!

Ouf, non, c'est toujours George.
Pfff, c'te frayeur.





























Un kea, le perroquet des montagnes.

Il n'a pas besoin de crampons lui.



Blacki semble moins adapté à la vie sur les glaciers.



Je ne vois plus Blacki depuis 5 minutes. Il est peut-être parti demander conseil au kea?







Toujours pas de nouvelles de Blacki, bizarre...

Encore George dans une de ses symphonies inachevées en coup de pioche majeur avec projections multiples de glaçons sur les spectateurs.

J'espère que ce phénomène de Blacki n'est pas tombé dans une crevasse.

(Version locale du bon vieux gag du seau d'eau au-dessus de la porte)
Déjà le chemin du retour et toujours aucune trace de Blacki.
Je demande à George de lancer des recherches.

Une soudaine inquiétude me glace.

Ouf, Tori m'informe que George a retrouvé Blacki et qu'il le rapporte au bus.

Ah oui, quand même!
Depuis le début du voyage je me doutais bien que tu étais un peu givré sur les bords, mais cette fois c'est sûr!

Zut et flûte, le temps de cuisson (oups, de décongélation) n'est pas indiqué sur l'étiquette.
(Attention, ne faîtes pas la même chose avec votre Blacki à la maison).

C'était bien, hein Blacki, cette petite promenade sur le glacier Franz Josef.